Plongé par sa mère dans le Styx pour que son corps devienne invulnérable, il est le héros par excellence pour les grecs. Son talon par lequel la déesse le tiens lui n’est pas trempé dans le fleuve des enfers et reste celui d’un mortel.

Dans cette œuvre, l’idéal moral du parfait chevalier homérique à son orgueil mis à rude épreuve. Les larmes empreintes de dualité se mêlent au liquide sacré de la rivière. Il s’agit d’un douloureux retour aux sources transgénérationnel.

Dans la mythologie scandinave, le corbeau est porteur d’un message positif, il joue un rôle de messager est de gardien. Près de Odin, roi des dieux, ils sont deux, l’un est l’esprit et l’autre la mémoire. Chez les indiens, il personnifie l’âme.

« Les larmes du passé fécondent l’avenir. »
— Alfred de Musset